mardi 6 avril 2021

Chiennes de guerre

Deux mondes totalement différents. D’un côté, une société matriarcale entièrement tournée vers la guerre. De l’autre, une civilisation pacifique, à la technologie avancée et vivant du commerce. Mais les ennemis des Femmes sont acculés. Dans leur ultime forteresse assiégée, ils possèdent un atout mortel qui éradiquera l’Humanité. Les Dieux provoquent la rencontre des deux civilisations et chargeront Mériel, le jeune officier arriviste, et Kǽrya, la fille cadette de la reine des Chiennes de guerre, de trouver, transporter et utiliser l’antidote qui existe au fond des mers, mettant ainsi fin à l’Affliction.
Chiennes de guerre
Jean-Pierre Godelle 2021

Merci à Nats Éditions.

Ma chronique sera courte, car j’ai lu ce texte il y a un moment et j’ai oublié de le chroniquer tout de suite. Quelle idée ! Néanmoins, je me souviens d’avoir ressenti pas mal d’émotions différentes et contradictoires lors de ma lecture. Alors, je vais vous les retranscrire le plus fidèlement possible.

Au début, je n’ai pas aimé. Encore un roman de dark fantasy à une période où j’aime lire des choses plutôt légères. Je n’accepte de lire du « lourd » que dans des thrillers, car c’est un genre qui me plaira toute ma vie, quoi qu’il arrive (car je l’ai décidé). Alors, ça n’a pas été simple au début. Et puis j’ai continué, car j’aime finir ce que j’entreprends.

Et petit à petit, je me suis attachée à Kǽrya, dont je voulais connaître l’histoire, puis à sa relation avec Mériel, car je les trouvais mignons tous les deux. Au final, c’est leur relation seule qui m’intéressait dans ce livre. Le reste était un flot d’événements qui permettaient de les faire avancer ensemble : j’ai trouvé l’élément qui m’a tenue en haleine jusqu’à la fin et m’a fait apprécier ce roman, ce qui n’était pas gagné au départ.

Comme quoi je pars parfois sur des aprioris infondés. J’ai bien fait de ne pas m’arrêter au genre, ou aux premières pages. Ce fut dans l’ensemble un bon moment !

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