Une série de découvertes étranges – un mort qui ouvre les yeux à la morgue, un toxico qui périt par autocombustion – l’incite à penser que son enquête, cette fois-ci, va dépasser le cadre des affaires habituelles du 9-3.
Et les lettres anonymes qui lui sont adressées personnellement vont le guider vers des sphères autrement plus dangereuses…
Depuis le temps que je voulais découvrir cette histoire, c’est enfin chose faite. Une petite note rapide, donc, sur cet ouvrage que j’ai bien apprécié.
Olivier Norek connaît bien son domaine, car d’après ce que j’ai lu, c’est un policier. Ce que je peux dire, c’est que ce livre le démontre bien, de par le vocabulaire employé et la multitude de détails qui nous permettent de vraiment nous immiscer dans l’histoire. Ajoutons à cela la fluidité du style, et vous obtenez un livre que vous ne pouvez pas arrêter de lire !
Dès les premières pages, j’ai été prise par l’intrigue. Un cadavre qui se réveille à la morgue, ce n’est pas très banal, donc ça retient forcément l’attention. Presque autant que le nom du mort vivant mais, ça, c’est du hasard. Rapidement, le ton du roman est donné, une nouvelle mort atroce survient, et les briques se superposent peu à peu pour nous emmener dans une enquête qui m’a beaucoup intéressée, car elle jouait beaucoup sur les relations humaines.
Notons que cette enquête est d’ailleurs accompagnée par une problématique plus « politique » et proche de Coste, ce qui donnait un petit effet « complication » qui n’était pas pour me déplaire. Le personnage principal avait bien du souci à se faire, entre l’enquête en cours, les découvertes des pourris en interne qui faisaient leur tambouille sans se douter qu’il y aurait des répercussions, et son histoire naissante avec Léa. Coste est au centre de tout et doit tout gérer. Il se démène comme il peut, et j’ai bien envie de le revoir dans une autre intrigue, histoire de continuer sur ma lancée.
Ça tombe bien, Code 93 n’est qu’un premier tome. À suivre, donc !
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