Mais sur le sentier de la vie, pavé de pièges et de nids de poule, le plus important n’est pas d’éviter la chute, mais de savoir se relever.
Merci à Maureen Dalla.
En fait, non, je ne sais pas pourquoi je remercie l’autrice. Quelle idée de nous faire pleurer avec un texte pareil ? Je déteste perdre un animal, j’ai toujours l’impression de l’avoir abandonné, de ne pas avoir fait ce qu’il fallait. C’est un sentiment très difficile, de nombreuses larmes et des journées dans le brouillard pendant lesquelles il faut continuer d’avancer coûte que coûte.
J’ai trouvé que la douleur de la perte était bien représentée ici, bien qu’un peu surjouée par le personnage. En même temps, elle a des circonstances aggravantes avec les pertes cumulées de son emploi (heureusement que les contrats de travail protègent de cela dans la réalité…) et de son mec (quel salaud !). Mais il fallait bien cela pour la décider à se retirer du monde et rejoindre sa grand-mère… pour que l’histoire commence enfin.
Ce périple dans la forêt et cette rencontre étaient fabuleux. J’ai compris tout de suite de quoi il retournait ; en même temps, l’autrice a disséminé des indices pour que l’on comprenne rapidement et que l’on profite encore plus du texte. Pas besoin de suspense et de mystère, ici. On est dans les sentiments, dans la douleur et dans l’amour. Il suffit de se laisser porter et d’apprécier ce dernier adieu.
Mais, un petit plus quand même pour cette phrase finale. Cette fin est juste parfaite !
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