J’avais adoré Les fiancés de l’hiver, et c’est donc avec une grande impatience que j’ai commencé ce nouvel opus. Je savais que j’allais me régaler et que l’histoire me plairait forcément. Et c’était effectivement le cas. Alors, cette chronique sera courte, car je l’ai rédigée longtemps après avoir terminé ce roman. Mais quand même !
Étonnamment, je trouve que l’histoire n’a pas tant avancé que cela. Les événements correspondaient à la suite directe du tome précédent et étaient parfaitement logiques, mais je n’ai pas eu l’impression qu’il y ait eu une envolée fulgurante de l’intrigue. Peut-être car j’adorais ma lecture et que j’ai donc eu une impression de « trop peu ». C’est tout à fait possible, vu que je n’ai pas vu le temps passer.
Il y a toutefois une petite chose qui m’a agacée : la relation entre Ophélie et Thorn. Qu’est-ce qu’ils sont longs à ouvrir les yeux sur quelque chose qui est l’évidence même ! Il était temps qu’il y ait rapprochement, quel qu’il soit, et que leurs comportements l’un vis-à-vis de l’autre finissent par évoluer. Car bon, voilà, quoi ! Moi, je veux que ça bouge !
Et, du coup, avec ce final qui m’a un petit peu secouée, j’ai envie de lire la suite… que n’a pas ma bibliothèque. Du coup, je dois choisir entre sauter par la fenêtre, ou me pendre… Mais je vais plutôt l’acheter, parce que je dois savoir. C’est vital !
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