mardi 2 juillet 2019

Fantômes et tentacules

Charleston, 1700.
À treize ans, Anne Cormac est l’héritière de la plantation de coton Cormac, dirigée d’une main de fer par son père, William. Malgré la promesse d’un avenir confortable, Anne ne rêve pourtant que d’aventures et de liberté.
Son destin bascule par une chaude journée d’été, lors d’un ultime acte de rébellion. En fuite, ses pas la guident sur un navire de pirates, le Muerta. Anne devient alors Adam, membre d’un équipage cruel et sanguinaire, à la recherche du célèbre trésor de Barbe-Noire. Parmi eux, Jack, un jeune garçon au passé mystérieux, se désigne pour lui apprendre les codes de la piraterie.
Mais au cœur des mers brumeuses rôde le danger… Des fantômes aux créatures légendaires, le destin d’Anne et Jack s’écrit dans les Caraïbes…
Fantômes et tentacules
Camille Salomon 2019

Merci à Nats Éditions.

Je suis assez mitigée sur ce texte sur certains points, tout en étant très contente de l’avoir découvert. Attention, chronique un peu bizarre à venir, car je ne sais pas me positionner réellement entre « J’ai aimé » ou « J’ai aimé mais ».

D’abord, le côté un peu négatif : je n’ai pas accroché aux personnages. Je les ai trouvés vides et sans personnalité. Voilà, c’est dit, pardon. Même si Anne a un semblant d’intérêt car elle veut faire son chemin parmi les pirates, je trouve que l’accent n’a pas été assez mis sur son ressenti au fur et à mesure de l’intrigue. Bon, c’est vrai que c’est tout à fait subjectif et lié au fait que si ça n’accroche pas… ben, ça n’accroche pas.

Néanmoins, passé ce petit détail, je n’ai qu’une chose à dire : trop bien, des pirates, des monstres des mers (et pas n’importe lequel), des combats, des navires ! Tout l’univers de la piraterie y est présent et m’a remplie de joie, car j’aime ce monde un peu particulier où tout est permis, ou presque.

L’histoire tient vraiment la route, et on suit les aventures d’Anne et Jack avec plaisir. Avec une telle vie, ils ne peuvent clairement pas s’ennuyer, et cela nous permet de tourner les pages avec suffisamment de frénésie pour qu’on arrive à la fin en pleurant qu’il n’y ait plus rien à lire. Plus rien ? Enfin, jusqu’au prochain tome en tout cas !

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