Et voici encore une note sur une de mes sagas préférées du moment. Que j’aime me glisser dans un des textes de Sauveur & fils. J’y suis bien, je ris et j’ai soif de découvrir l’évolution des différents personnages.
Ce tome met en avant la famille. Non pas forcément celle du sang, bien qu’elle y ait sa place aussi, mais celle que l’on se crée. La famille de Sauveur est disparate : outre son fils (le sang), Louise et ses enfants (la famille recomposée en devenir), ainsi que les orphelins qu’il rencontre sur sa route (Gabin, Jovo, Samuel et les autres), la famille de Sauveur n’a jamais été aussi grande et importante. C’est à croire que tout nouveau cœur égaré peut la rejoindre. Et c’est beau.
L’adolescence est aussi un thème abordé énormément et avec beaucoup de délicatesse. On en voit, des éléments autour de ce thème, et j’ai été surprise plus d’une fois de voir comment Sauveur pouvait se dépêtrer de telles situations. Il est fort !
Mais ce qui m’a le plus ébranlée, c’est Jovo. J’ai eu très peur pour lui et j’ai été touchée de l’incidence que son accident a pu avoir sur tous les personnages. Les liens se sont renforcés, et certains ont pris conscience de l’importance de la vie et de ce lien particulier qui unit les personnages gravitant autour de notre psy préféré. Je suis vraiment fan de cette saga !
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