Leur chef de clan lui annonce qu’elle va épouser Marius, son fils adoptif alors que Dylan, son ex-fiancé, vient de faire son retour… Comment accepter d’épouser l’homme qu’elle déteste au plus haut point alors que celui qu’elle aime vient de revenir ?
Merci à Mélanie Baranger.
Cette chronique ne sera pas très longue, car il est toujours difficile de commenter une nouvelle, quelle que soit sa longueur. Toutefois, je peux en dire que j’ai beaucoup aimé la mythologie qu’a créée l’autrice dans ce petit texte. On sent qu’elle ne se prend pas au sérieux, et les pauvres petits vampires mis en scène dans ces quelques pages en prennent pour leur grade.
Entre dérision et humour caustique, les gentils vampires de Twilight ont éclipsé la vraie nature des vampires : sanguinaires, ils le sont, mais les gens les trouvent beaux quand ils les croisent. Les pauvres n’arrivent plus à faire éprouver de la peur aux êtres humains et sont contraints de vivre avec eux, quand bien même ils souhaiteraient retrouver l’horreur qu’ils inspiraient auparavant.
Le parallèle est fait, le ton est donné, la petite histoire d’amour peut alors prendre forme dans ce contexte bien amusant. Les vampires d’aujourd’hui voulant vivre comme auparavant, le mariage forcé semble d’actualité chez eux, et la pauvre Anastasia en fait les frais. À elle de se débrouiller pour se sortir de ce mauvais pas.
Cette histoire ne se prend pas au sérieux, et j’aime ça. L’humour est le fil conducteur de ce texte, et je suis bien contente d’avoir découvert cette petite intrigue qui remet à leur place les vampires. En bref, si vous voulez sourire un peu, lisez cette nouvelle !
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