Mais jusqu’où peut-on aller ?
Merci à Fanny Vandermeersch.
Mais quelle super lecture ! Elle m’a fait du bien de par sa fraîcheur et le ton léger employé. Comment ne pas aimer ce genre de livre feel good ? Alors, c’est drôle quand même, mais dès qu’une conscience est mise en place pour remettre sur le droit chemin une femme, j’ai l’impression que c’est toujours un chat qui s’y colle. Je sais : c’est car ils sont les maîtres du monde et ont la connaissance universelle. Avec un tel argumentaire, on comprend à quel point ce texte tape dans le mille (ben oui, j’aime les chats).
Stéphanie est un peu paumée. Elle ne comprend pas qu’elle doit s’imposer, mais dès qu’elle essaie de prendre en compte l’avis de son chat-conscience, elle se goure complètement et devient une sorte de despote. Je l’ai détestée dans ces moments-là. Et je lui ai répété d’aller voir son chat. Oui, oui, je parlais à mon livre et à Stéphanie comme s’ils existaient. Alors, ça peut vouloir dire deux choses : soit je perds complètement la boule (hypothèse complètement recevable), soit le texte m’a tellement embarquée que je m’y suis crue. Hum, peut-être un peu des deux.
Quoi qu’il en soit, je n’ai pas pu lâcher le livre tant qu’il n’était pas fini. Je voulais voir ce qu’elle allait devenir et si elle allait enfin comprendre les messages de son félin. C’était pas gagné, je vous le dis ! En plus, l’autrice a intégré quelques scènes et situations cocasses qui n’étaient pas là pour aider Stéphanie. En même temps, c’est pas plus mal : après s’être autant pris la honte, ça ne peut qu’aller mieux pour elle !
Bon, vous l’aurez compris, j’ai été complètement captivée par ce récit. Il m’a fait du bien, m’a fait rire et sourire. J’ai parlé à mon livre et permis de prouver au monde le temps d’une chronique que les chats sont nos dieux incontestés… Bref, que du bonheur !
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