Il y a quelques mois encore, Clara était déontologue à la Premium, un groupe influent dans la finance internationale. Depuis sa démission, elle vit avec son fils, retirée à la campagne. Jusqu’au jour où elle-même est destinataire de la funeste cerise de café.
Entre plantations de caféiers et salles des marchés, la jeune femme devra lutter pour sa survie, en affrontant tout autant ses propres démons que les forces sombres qui la traquent sans relâche.
Merci aux Éditions 12-21.
C’est toujours difficile d’abandonner un livre, car on se dit que, peut-être, ça va enfin décoller, que, peut-être, on va aimer la fin, ou même la suite, qu’on va rater quelque chose. Mais quand ça n’accroche pas, ça n’accroche pas. Tout simplement.
J’étais partie très positive avec ce titre car le résumé me semblait prometteur ; je pensais vraiment que j’apprécierais. Mais je lisais une page et je perdais le fil. À la fin du premier chapitre, je ne savais plus de quoi parlait le chapitre précédent. Je n’arrivais pas à rentrer dans l’histoire. Je n’accrochais pas, tout simplement.
Je ne remets pas en cause l’histoire, ou même la plume de Bertrand Puard. Parfois, ça ne passe pas. Alors, je vous encourage à quand même tenter le coup. Qui sait ? Ça vous plaira peut-être !
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