samedi 26 novembre 2016

L’ombre d’un maître disparu

Ici commence l’histoire de celles et ceux qui s’apprêtent à réécrire les légendes de la Moïra.
Au large du continent, sur une terre aux paysages sauvages où se mêlent hautes montagnes, rivières tumultueuses et vastes forêts, les Hommes, les Elfes et les Orques tentent, tant bien que mal, de préserver une harmonie aussi précieuse que précaire.
Forgée cinq cents ans plus tôt, l’alliance des Hommes et des Elfes sombre peu à peu dans les brumes de l’oubli. Les liens du passé se distendent, tandis que l’ancien règne de terreur du Maître et de son Triangle Noir resurgit des profondeurs de la forêt, menaçant l’équilibre de l’île toute entière.
L’ombre d’un maître disparu
Gavriel Howard Feist 2016

Merci à CKR Éditions.

Une nouvelle fois, CKR Éditions nous propose une saga épisodique, composée de petits tomes, très petits, à peine une vingtaine de pages. Il y a du bon dans ce genre de textes, mais il y a du mauvais. En général, à la fin du premier épisode, on ne sait pas encore quoi en penser. L’histoire se met en place, on ne sait pas encore où tout ça va. Mais c’est vite lu, et on sait au moins si on a envie de lire la suite.

En quelques pages, j’ai pu apprécier un style très fluide et imagé, mettant en scène un univers de fantasy sur plusieurs périodes. Il y a beaucoup de personnages, et je ne sais pas encore lesquels seront importants par la suite, même si une petite idée se forme néanmoins. Ce qui m’a vraiment marquée, c’est bien le style de Gavriel Howard Feist. J’ai vu les scènes dans ma tête et je me représentais chaque situation. C’est un atout non négligeable, car je me souviendrai sans doute des scènes à la lecture du prochain épisode.

Pour l’histoire, toutefois, je ne sais pas encore dire si elle sera passionnante ou non. Pour l’instant, je dirais que c’est intrigant et j’ai besoin d’en lire un peu plus pour me positionner. J’imagine que la suite ne devrait pas tarder, et j’espère que cela continuera dans la même veine que l’épisode 1. Affaire à suivre.

Le serpent et la reine »

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