mardi 10 avril 2018

Damnation

Ce qui s’est passé ne peut être oublié.
Le passé est toujours présent.
Et le présent sera sanglant…
Damnation
Oxanna Hope 2017

Merci à Oxanna Hope.

Pourquoi faire encore une chronique ? Tout le monde sait que je suis incontestablement fan de cette saga et de cette autrice. Chaque livre est une torture car, une fois que j’en ai terminé un, je n’arrive pas à passer à autre chose tant son contenu m’obsède. Et encore plus avec Go to Hell : quand je finis un tome, je suis crispée et malheureuse de devoir attendre la suite… qui n’est pas sortie. Alors, j’ai essayé de repousser au maximum la lecture, en me disant que le tome 5 serait plus proche… Mais non.

L’intrigue du tome 4 prend effet environ une année après les événements du tome 3. J’avoue avoir été surprise, car je pensais que l’autrice serait sadique au point de nous faire découvrir un Damian dévasté et un Seven ne sachant pas quoi faire pour aider son frère. Mais ce n’est pas plus mal, car on se rend compte tout de suite de l’évolution des choses, et peu à peu on apprend comment chaque personnage a pu être confronté aux événements. La psychologie des personnages n’en est que plus intéressante !

En plus, le fait que l’histoire commence plus tard par rapport au retour de Damian et Seven du monde de Cassie est cohérent vis-à-vis de la suite qu’a voulu donner l’autrice à l’intrigue. Cela n’aurait clairement pas pu se produire si vite… Et c’est bien car j’ai tout aimé de cette aventure. Le(s) grand(s) méchant(s) m’a(m'ont) sidérée et a(ont) été bien trouvé(s), car cela m’a passionnée. Mais je ne peux évidemment pas vous dire pourquoi, car sinon ce serait divulgâcher.

Néanmoins, sachez-le, cette histoire est addictive. L’autrice a incrusté nombre de péripéties mettant en danger nos héros, ce qui nous empêche de poser notre livre car, forcément, l’on veut savoir ce qui va leur arriver. Quant à cette fin… Pour tout vous dire, lors des dernières pages, je serrais ma liseuse tellement fort que j’ai cru à un moment que j’allais l’abîmer ! Trop de crispation… et un sentiment de vide quand les derniers mots ont été lus. Je ne sais pas comment je vais pouvoir attendre la suite…

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