Samantha Kingstone a tout pour elle : le petit copain le plus craquant du monde, trois meilleures amies géniales, et une cote de popularité illimitée. Ce vendredi de février aurait dû être un jour comme les autres. Un jour parfait dans une vie de rêve. Mais ce vendredi de février est le dernier pour Sam. Pourtant, elle va obtenir une deuxième chance. Ou plutôt six chances. Six jours pour démêler le mystère entourant sa mort. Six occasions de découvrir la vraie valeur de tout ce qui l’entoure. Ce vendredi est le dernier jour de la vie de Sam. Ou le premier ?
Gonflant et ennuyeux à mourir. Vous trouvez que je suis sévère ? Eh bien, non. Lire le dernier jour d’une pétasse (pardonnez l’expression, mais Lauren Oliver elle-même l’utilise) sept fois de suite me donne vraiment envie de lui crier : « Mais crève et laisse-nous tranquille ! »
Je déteste les boucles temporelles, c’est trop simple, ça évite de se compliquer la vie, d’inventer une histoire de manière complète mais par contre, oui, ça permet de réécrire plein de fois la même chose en changeant des détails. Après, autour de ça : la leçon pour Sam (« Oh, tu es une méchante et faut que tu apprennes à être gentille. ») ne va pas chercher midi à quatorze heures, aucun personnage n’est réellement fouillé (hormis peut-être Lindsay et Juliet), et la fin est un cliché à elle seule. Et le drame, dans tout ça ? Ben, c’est le fait de devoir finir ce livre ! Une vraie déception !
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