Comment réagiriez-vous si, au premier contact physique, une douleur terrible vous plongeait dans l’inconscience ? Comment feriez-vous pour gérer un amour interdit, renforcé d’un sortilège par vos ancêtres des centaines d’années avant votre venue au monde ? Imaginez-vous que la vie que vous meniez jusqu’ici n’était qu’une illusion destiné à cacher votre vraie nature des forces du mal.
… Encore un peu d’espoir, il suffit d’y croire…
Merci à SimPlement et à Laura Wilhelm.
C’est l’autrice qui est venue me proposer de découvrir ce texte, car elle pensait que je pourrais être intéressée. Elle ne pouvait pas avoir plus raison ! J’aime ce genre d’histoire avec des amours impossibles, des dilemmes, des créatures obscures et des Élus. J’en ai lu tellement que j’ai toujours un peu peur de retrouver un schéma déjà vu mais, bizarrement, très souvent, je suis tout de même contente.
Cette fois-ci n’a pas fait exception. Ce titre m’a beaucoup plu, même s’il se retrouve dans un schéma assez classique et comporte quelques petites imperfections. Si j’ai bien compris, il s’agit du premier livre de l’autrice, et franchement ce n’est pas si mal. Dès le début, j’ai été embarquée dans l’histoire de Léna et Rick, et je voulais savoir s’ils pourraient vaincre tous les obstacles.
Toute la mythologie mise en place autour de Léna et Rick m’a bien plu : Azmel, le fait qu’ils ne peuvent vivre leur amour, que cette épée de Damoclès reste au-dessus de leur tête… Tout est bien trouvé, même si pas forcément très original. Toutefois, le traitement qu’en a fait l’autrice est sympathique et donne envie d’en découvrir toujours plus.
Sans surprise, Léna est plus qu’une simple Élue, mais il faut bien ça pour accentuer encore plus le drame qu’est son amour avec Rick. J’avoue avoir bien aimé aussi ses cousines, qui l’entraînent et amènent une touche de bonne humeur dans l’histoire, histoire de contrebalancer un peu avec les idées noires autour de la malédiction.
En bref, voici une bonne histoire qui m’a beaucoup plu et dont j’espère pouvoir très vite lire la suite, car cette fin est…
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