C’est alors que le père de Viktor resurgit pour défendre son fils…
Merci aux Éditions Fleurus.
J’ai lu le tome 1 de Totem il y a quelques mois maintenant et j’avais aimé cette lecture jeunesse qui m’avait fait passer un bon moment. Elle avait tout ce qui peut plaire aux ados : des histoires de lycéens, de premières amours, de la technologie avec un téléphone ô combien important, car il se synchronise à votre esprit et peut vous parler. Et je ne parle pas d’une application comme Siri, je vous parle d’une vraie discussion, réfléchie et pensée. En somme, ce téléphone, le Totem, est une intelligence artificielle.
À la limite de la science-fiction et du thriller, ce tome 1 s’était terminé sur une fin qui a joué avec mes nerfs et un décès auquel on ne pouvait croire. Les cartes étaient redistribuées, les méchants perdus et notre héros au plus mal. Il était donc temps que je découvre cette suite. Et je n’ai pas été déçue. Outre le fait que je me suis retrouvée tout de suite dans les événements, j’ai été ravie de retrouver les personnages que j’avais tant appréciés dans le premier roman. Néanmoins, ma lecture datant, j’ai eu comme un petit trou de mémoire pour certains d’eux. Il a fallu que je me fasse une petite piqûre de rappel.
Mais une fois les briques réagencées, j’ai pu me remettre dans le bain, car ce deuxième tome est beaucoup plus centré sur le Totem et Vlad, et l’on s’y retrouve donc plus facilement. Les personnages secondaires sont devenus de vrais personnages secondaires, et leur histoire n’est plus qu’évoquée. Alors, c’est une bonne chose car on se concentre plus sur les événements principaux, qui prennent toute la place tant leur ampleur devient grande, mais j’ai eu l’impression que les autres ont été un peu délaissés.
Le Totem a évolué dans ce tome, et ce n’était pas pour me déplaire. Il est devenu un être ayant un caractère propre, et je l’ai parfois détesté, tant il était imbu de sa personne. De téléphone, il est devenu un personnage à part entière de ce roman, et son évolution ne passe pas inaperçue ! Cyrano m’a même tiré une larme à la fin, quand sa scène a eu lieu. Tout héros a son moment de gloire, et c’était son cas également, ce qui m’a fait sourire.
Cette fin m’a énormément plu, car elle promet une évolution encore plus conséquente de la vie des personnages. Une séparation, une histoire qui se réinvente… Vivement le tome 3 !
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