Tout d’abord, je souhaite remercier Johanne, ma partenaire blogueuse, qui a choisi ce roman dans le cadre d’une de nos lectures communes. Mais où as-tu vu que c’était du fantastique ?
Je suis partie dans l’idée, à tort, que cette histoire était du genre fantastique et je me demandais vraiment ce que j’allais y lire. Pourtant, au fur et à mesure de ma lecture, je me suis rendue compte que ce n’était absolument pas le cas ! Nous sommes ici plutôt dans une histoire de la veine des thrillers ésotériques (Da Vinci Code, Anges et démons…), mais plutôt orienté jeunesse. Et le mélange m’a assez plu.
Pourtant, le début de ma lecture a été assez difficile. Maggie Hall m’a tout de suite entraînée dans son histoire, sans placement des personnages, sans réelle explication, alors je m’y perdais pas mal. En soi, ce n’est pas une mauvaise chose, et généralement j’aime bien rentrer directement dans le vif du sujet. Mais là, j’ai été un peu déboussolée et j’ai eu du mal à me concentrer sur ce que je lisais du fait de la quantité d’informations qui me parvenait.
Par contre, une fois que j’ai été dedans, je ne pouvais plus me décoller du roman. Ces mystères, cette chasse au trésor, cette course poursuite dans Istanbul et dans Paris, la peur et le frisson qui suivaient les personnages à chaque moment, et cette crainte qu’ils avaient d’être capturés. Je me suis régalée face à l’inventivité de l’autrice et sa capacité à nous faire vivre cette aventure trépidante.
Les personnages ne sont pas en reste. Même si Avery m’a semblé un peu changeante et parfois tête à claques, j’ai beaucoup aimé son esprit de décision, son envie de vouloir aller jusqu’au bout et de ne pas tenir compte des règles du monde qu’elle découvre. Quant aux personnages masculins ! Entre Jack et Stellan, mon cœur balance : ils sont tous les deux à croquer, chacun de leur façon.
Maintenant, j’ai hâte de pouvoir découvrir la suite, sans compter que ce final m’a remplie d’une joie extrême. Je ne m’imagine que trop bien les situations cocasses qui pourront en résulter, et l’horreur que ressentiront les membres du Cercle face à cette idée réfléchie… ou pas !
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