Jeu d’ombres à Paris

N’attirez jamais l’attention de ceux que l’on appelle « les gardiens », car alors rien ne les arrêtera, ils n’échouent jamais.
Éva, détective du paranormal, est l’un de ces êtres hors du commun. La nuit est son repaire, les rues de la capitale son terrain de jeu. Pourtant, l’envoûtante chasseresse va se retrouver pour la première fois confrontée à son alter ego : un génie du nom d’Adam Lange.
Quand deux prédateurs se rencontrent, la bataille ne peut être que redoutable…

Jeu d’ombres à Paris

Dyane 2020

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Merci aux Éditions du Loup d’Argent.

Pour la petite anecdote, c’est la deuxième chronique que j’écris sur ce titre… car j’ai eu un souci avec mon blog, qui m’a perdu la première… Du coup, vous ne verrez pas toutes les choses que j’ai pu dire la première fois, qui étaient si merveilleusement dites, plus incroyablement encore que d’habitude (je sais, c’est facile…). Bon, en tout cas, cette chronique sera fatalement un peu plus courte, car j’ai lu ce titre il y a trop longtemps pour que je me souvienne de tout… Hélas.

Mais je me souviens que j’avais adoré ce texte. Cette petite balade au cœur de Paris m’avait bien plu et était magnifiquement orchestrée pour nous faire voyager un peu dans les rues de la capitale. Pour la découvrir, c’est aussi parfait. Il ne manque que les images. Ou alors, il faut se balader avec le livre, mais j’ignore si je n’aurais pas été plus attirée par les mots de Dyane. Elle écrit vraiment très bien : c’est fluide et entraînant.

Quant à l’histoire : elle est particulière. Il faut dire que, lorsque j’ai lu ce livre, je suis passée par divers stade : est-ce un fantastique, un fantasy ? La frontière est mince, pour mon plus grand plaisir, car l’atmosphère créée par l’autrice permet de s’immiscer dans l’histoire sans trop se poser ce genre de question finalement.

On vit les aventures avec Éva et Adam, on veut savoir où l’autrice nous emmène et l’on frémit quant à cette fin si intense et riche en émotions. Pour tout vous dire, je suis assez contente de la tournure qu’a prise l’histoire car elle est en demi-teinte. Cela finit comme on veut, mais il y a ce petit « mais » qui nous faire grimacer. C’est bien joué !

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