Entre nantis et pauvres, enfants et parents, maris et femmes, ce sont des années de rancunes, de rancœurs, de haines et de mensonges, jusqu’alors soigneusement dissimulés, qui vont éclater au grand jour et, à l’occasion d’une élection municipale en apparence anodine, faire basculer Pagford dans la tragédie.
Que dire ? Ce roman est magnifiquement écrit. Normal, il s’agit de JK Rowling et de sa plume magique. Mais le roman, lui, n’est pas magique. Plutôt long et… compliqué. Ce n’est qu’à la moitié du livre que j’ai commencé à y porter un vague intérêt. Pourquoi ? Car avant, il y avait trop de personnages, et leurs relations n’étaient pas claires. Mais quand j’ai pu les connecter entre eux, la lecture s’est très légèrement améliorée, et les choses ont pris leur sens. Notamment l’opposition entre Barry (l’optimisme, l’envie de faire évoluer la ville et ses habitants) et tous les protagonistes qui gravitent autour de lui (le pessimisme, l’abandon et le laisser-aller). Mais le roman est tellement banal. Même si j’apprécie la plume de JK Rowling, l’histoire est noire, pessimiste…
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