Ses choix de vie et de carrière sont sans cesse limités et contrôlés. Et quand des hommes tentent de reformer des groupes, la maladie réapparaît. Et si cette effrayante peste n’avait rien de naturel et n’était pas due au hasard ?
Le début du roman était excellent. Outre le fait que David Patneaude doit avoir une sacrée dent contre les femmes, j’ai adoré le coup du virus, le placement de l’histoire, les personnages. J’ai adoré certains détails concernant la nouvelle vie des êtres humains (ou devrais-je dire être-humaines !), le contrôle des naissances, les distinctions entre poissons et enfants naturels. Vraiment excellent !
Puis au milieu du roman vient l’élément déclencheur de l’aventure, et la déception commence à apparaître : cette « aventure » ne durera qu’une moitié de livre. Rapide. Trop rapide ! Les méchants ne sont pas assez méchants, les gentils sont trop naïfs. Les explications sont trop faciles, pas assez recherchées à mon goût. Vu le temps qu’a nécessité la mise en place de l’histoire, je pense que les événements en découlant auraient dû être plus détaillés… et peut-être un peu moins extravagants pour certains…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire