mardi 10 juillet 2012

Level 26

Les policiers du monde entier répartissent les criminels sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Un tueur échappe à cette classification. Cruel à l’extrême, insaisissable, sévissant sur tous les continents, il ne connaît aucune limite ni aucun mode opératoire de prédilection : c’est le niveau 26. Un seul homme peut l’arrêter. Il s’appelle Steve Dark et, depuis que ce monstre a massacré sa famille, il s’est juré de cesser de traquer les psychopathes. Mais bientôt, il n’aura plus le choix.
Dark origins
Anthony E Zuiker 2010

Ce résumé m’avait donné l’eau à la bouche, ce qui a été renforcé par les premières pages. Enfin l’histoire d’un tueur en série qui sévit sans aucune motivation, et de manière complètement aléatoire et incalculable. Le genre de personnage qui ne peut pas être arrêté. Sauf que, en lisant le livre, eh bien… Il a une motivation car il a un but, ses attaques ne sont pas si aléatoires que ça dans le sens où on peut y voir une certaine logique et, en plus, il y a un agent qui pourrait bien être capable de l’arrêter. Donc ça gâche tout…

Oui, oui, j’aurais bien aimé que pour une fois les autorités soient incompétentes et que l’on pénètre justement dans cet univers où les gentils ne finissent pas toujours par gagner. Sadique ? Moi ? Sinon, c’est un bon thriller, quoique Sqweegel m’a semblé parfois peu crédible, et que cet excès de violence, de sadisme m’a vraiment énervée. À croire qu’il n’y a que ça qui puisse appâter un lecteur ! J’avoue que j’attendais beaucoup plus de finesse et d’intelligence pour ce thriller. Du coup, je remets en jeu mes espoirs pour le tome 2.

Dark prophecy »

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