samedi 18 janvier 2014

À travers la nuit sans fin

Après leur séparation forcée, Aria et Perry laissent éclater leur passion au grand jour. Ils doivent pourtant se rendre à l’évidence : la tribu de Perry n’accepte pas la présence d’Aria, une Sédentaire. Aria décide alors de rejoindre seule la tribu des Cornans. La route est dangereuse mais, là-bas, la jeune fille pourra obtenir des informations sur le Calme Bleu, le seul endroit où l’Ether ne frappe pas, laissant aux hommes une chance de survie.
Through the ever night
Veronica Rossi 2013

Misère, misère ! Je suis déçue, accablée de tristesse… J’avais adoré le tome 1 de cette saga ! C’était un livre vraiment excellent, qui m’a plu, qui m’a émerveillée, attendrie, affolée. Alors, j’attendais beaucoup de ce tome 2. Visiblement beaucoup trop. Quand je l’ai ouvert, j’étais follement excitée. Et, dès les premières lignes, j’ai commencé à déchanter. Comment ça, on ne reprend pas exactement là où l’intrigue s’était arrêtée ? Il faut d’abord comprendre au travers des dialogues ce qu’il s’est passé ? Ou bien ai-je raté un épisode ?

Puis, la routine s’enclenche. C’est bon, le livre me plaît pour l’instant, l’intrigue avance, et je veux savoir où l’histoire va nous mener. Il faut retrouver Talon, allez ! Mais, mais ? Comment ça, il peut attendre ? Pourquoi de nouvelles intrigues apparaissent et retardent cette échéance ? Où va-t-on ? Pourquoi le fil conducteur de ma saga fait des zigzags ? Non, non, non… Je n’aime pas ce genre de brodage ! Et pourquoi me retrouvé-je à m’ennuyer comme ça ?

Vous trouvez ma chronique ahurissante ? C’est ce que j’ai ressenti en lisant ce livre. Le premier tome présentait une intrigue parfaitement exploitée. Ce deuxième tome est quant à lui surréaliste. Je n’en voyais pas le bout. Quel dommage…

Dans le bleu de l’infini »

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