Merci aux Éditions 12-21.
Cette chronique va être difficile à faire, car je n’ai pas du tout aimé ce titre. Du moins, ce que j’en ai lu. J’ai abandonné à un peu plus de la moitié, car je ne supportais pas le style. Comme, de plus, l’histoire ne m’emballait pas, j’ai préféré laisser tomber.
Je serai donc assez courte dans cette chronique, et ne parlerai que pour la première moitié du roman. J’ignore si la fin relève le niveau et est cohérente. Je ne sais pas non plus si la suite est aussi bizarre et illogique que le début. Peut-être que le début visait à nous perturber ou nous surprendre. Si c’est le cas, c’est réussi, car j’ai été bien perdue dans les méandres de l’histoire.
Je ne saurais pas vous raconter l’histoire, car tous les éléments se mettent en place très vite, on passe d’une chose à l’autre sans temps mort. Je pense que c’est le genre de livre où ça passe, ou non. Soit on adhère à ce rythme particulier, soit on est perdu. J’ai été perdue, et je dois vous avouer que je n’ai pas compris grand-chose.
Mais ça, à la limite, pourquoi pas… Peut-être que la fin explique tout. Il vous faudra lire pour le réaliser. Ce qui m’a le plus gênée, c’est clairement le langage. Passant de familier à grossier, Misha Halden interpelle le lecteur. Je n’ai pas compris pourquoi et n’ai pas vraiment apprécié le ton. Je ne parlerais pas comme ça à des proches, encore moins à des gens que je ne connais pas.
Pour moi, ce fut donc un raté. Je n’ai pas du tout compris où allait l’histoire, et le ton ne m’a pas plu. Peu engageant dès le début, j’ai abandonné à un peu plus de la moitié. J’en suis désolée, mais je pense qu’il s’agit d’une appréciation tout à fait personnelle. D’autres aimeront sûrement, et le meilleur moyen de savoir si ce livre vous plaira est encore de le lire.
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