mardi 2 octobre 2018

Apocalypse

Professeur d’histoire des religions et de paléographie à Paris, Michel reçoit un message surprenant du père Alexis, vieil archiviste du monastère de Patmos. Accompagné de l’une de ses collègues, Sofia, Michel s’embarque pour la Grèce. Le père Alexis prétend que l’Apocalypse de Saint Jean que nous connaissons recèle un message secret. Grâce à ses recherches, le prêtre est parvenu à rétablir le texte dans son intégralité… pour y découvrir la date exacte de la fin du monde. Incapable de conserver pour lui seul cette inquiétante révélation, il souhaite la transmettre à son ami. Mais, avant d’avoir pu lui livrer ses dossiers, le père Alexis est sauvagement assassiné. Michel et Sofia se mettent alors en quête de l’Apocalypse disparue… avant l’apocalypse.
Apocalypse
Anonymous 2018

Merci aux Éditions Pygmalion.

Ce livre m’a surtout attirée par cette grosse mention à Anonymous. J’ai été tout de suite intriguée et ai souhaité en savoir plus. À la lecture du résumé, j’ai été carrément emballée. Une histoire d’apocalypse rien que pour moi. Moi qui aime lire des livres sur la destruction de l’humanité ou la fin des temps, c’était parfait !

J’ai lu ce roman très vite, pour deux raisons : d’abord parce que j’ai aimé, évidemment, mais aussi car le style est très fluide et nous porte d’un événement à l’autre, sans réel temps mort. L’auteur sait disperser des petites indices ou petites piques qui me donnaient envie de poursuivre ma lecture pour comprendre où cela me mènerait. Et j’avoue ne pas avoir été déçue.

Avec un tel résumé et un tel début, je me suis dit que l’auteur allait nous faire une pirouette pour nous offrir une fin qu’on n’attendait pas, car sinon cela aurait été dommage… Et il l’a fait. Bon, j’ai commencé à le voir venir, plus ou moins, à un certain moment, mais je n’avais pas le détail, et j’ai trouvé que c’était très bien amené.

Il y a tout de même un petit quelque chose qui m’a chiffonnée : les personnages. Je ne les ai pas trouvés assez travaillés, hormis peut-être pour Sofia, dans le sens où ils me semblaient un peu superficiels. C’est dommage, car il y avait matière à leur offrir des personnalités bien affirmées. Mais bon, c’est un détail qui ne m’a pas empêchée d’apprécier ce texte !

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