vendredi 8 mars 2013

Un avion sans elle

Lyse-Rose ou Émilie ? Quelle est l’identité de l’unique rescapé d’un crash d’avion, un bébé de trois mois ? Deux familles, l’une riche, l’autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les média ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’histoire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête.
Un avion sans elle
Michel Bussi 2012

Ça, c’est du thriller ! Bien ficelé, prenant, haletant, ce livre était comme une drogue. Du moment où je l’ai ouvert, je me suis sentie comme liée à lui, comme si je devais absolument l’avoir en main jusqu’à l’avoir terminé. Et il se dévore, ce roman.

La plume de Michel Bussi est un vrai délice. Il nous emporte où il veut, dans l’histoire qu’il veut, nous crée un suspense diabolique, démoniaque, qui nous pousse à tourner les pages, toujours plus vite, pour enfin connaître le fin mot de l’histoire. Et parlons-en, de l’histoire. Oui, il y a des éléments qu’on devine très vite. Mais d’autres tellement inattendus, qui viennent nous faire douter, nous extasier, nous interroger : « Ai-je tort ? », « Finalement, je n’ai peut-être pas tout compris ?! »

Quant aux sentiments, aux sensations qui se dégagent du roman ! Cette histoire est tellement dramatique, et tellement belle en même temps. Ainsi, côté suspense, comme côté sensations, oui, j’ai été servie, mon appétit a été rassasié, mais ce pavé n’était pas assez gros à mon goût. J’en veux encore, et je pense donc m’attaquer très rapidement aux autres œuvres de cet auteur. Je suis officiellement fan !

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