Mon jeune âge et mes compétences font de moi la garde du corps idéale pour le fils adolescent d’une sénatrice engagée dans la lutte contre la corruption.
Je n’en oublie pas pour autant ma mission personnelle : faire tomber la puissante organisation des Azulbagians. Je ne le sais pas encore mais, entre secrets révélés, alliés inattendus et nouveaux talents extraordinaires, je ne suis pas au bout de mes surprises !
Une chose est sûre cependant : tout finira dans les flammes.
Merci à Nats Éditions.
Quand j’ai découvert que ce tome 3 était le dernier, j’étais prête à faire signer une pétition au monde entier et créer ma propre révolution pour avoir dix-huit tomes supplémentaires. Je m’étais vraiment mis dans la tête qu’il allait s’agir d’une saga à rallonge et qu’on suivrait la suite des aventures d’Adi pendant des années encore. Mais finalement, en lisant ce tome, je suis satisfaite. Cette conclusion est juste parfaite.
J’avoue que le début du tome ne me faisait pas vraiment penser à une fin de saga. Adi prend du galon, repart en mission. Rien de très étonnant. Mais les événements prennent une tournure inattendue, et là… c’est simple, d’un seul coup, il y a eu cet élément déclencheur qui indique clairement que ça y est, c’est la dernière ligne droite, et ça finira dans le sang. À partir de ce moment-là, je n’ai plus été capable de lâcher mon livre.
Si le début commence en douceur, la fin est juste complètement folle. On s’attendait à une petite tournure un peu fantastique car il y avait des indices dans les tomes précédents. J’avais peur que ce ne soit trop, mais finalement c’est très bien dosé et surtout très cohérent par rapport à l’intrigue globale. Du coup, je suis plutôt contente qu’Abigaël Chieux soit allée jusque-là.
Et cette fin ! Oh, cette fin ! Des palpitations, l’impossibilité de lâcher le livre, l’impression d’avoir le souffle court car je voulais savoir, j’avais peur pour les personnages, j’avais envie de savoir ce qui allait advenir d’eux tous, mes chouchous comme ceux que j’aimais moins. Et c’est bien, car on a un petit rappel pour chacun d’eux. Aucun n’est oublié, et on retrouve l’un d’entre eux, un de mes préférés…
Petit coup de tristesse toutefois, quand j’ai vu que Cyan ne parlait plus avec la simplicité des premiers tomes. C’était le personnage qui me faisait craquer, et il a trop vite grandi. En fait, tous ont grandi et évolué. Vite, certes, car le contexte les entourant l’impose, mais finalement, c’est logique et cela fait partie de leur vie.
En bref, un tome qui m’a beaucoup plu et qui conclut cette saga de la bonne façon : une vraie conclusion, et une bonne petite crise d’hypertension. Que demander de plus ? Ah oui. Une série dérivée, peut-être ?
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