Merci à Babelio aux Éditions Didier Jeunesse.
Je rédige cette chronique avec du retard sur le délai que l’on m’a accordé, et je m’en excuse. Mais c’était pour la bonne cause, car j’ai adoré ce titre !
Le début du texte est tout bonnement dingue. On se retrouve avec Évill, découvrant qu’il est mort mais ne se rappelant ni comment ni qui il est en réalité. Quelques explications rapides plus tard, le contexte est situé, mais quelque chose sonne faux. Et ça, c’est top ! Car on ressent tout de suite que l’on va être surpris tout au long de notre lecture.
La suite m’a donné raison, et je me suis régalée à chacune des pages qui a suivi. J’allais de découverte en découverte, entrevoyant des choses ou des indices mais sans réellement comprendre. Il faut se laisser porter dans ce livre, car on pense savoir mais, en fait, on est totalement largué.
Ce roman m’a un peu stupéfiée. Il faut dire que, d’habitude, quand je lis un texte un peu fantastique, j’arrive à percevoir la finalité. Là, pas du tout : le style et la tournure m’ont déroutée (dans le bon sens), et j’ai eu un sentiment de fraîcheur quant à cette lecture, car elle n’est pas habituelle.
La mythologie mise en place n’est pas en reste, et j’ai aimé découvrir une autre idée à ce sujet. Comme quoi, on peut s’en imaginer, des choses. Quant aux révélations successives… Comment dire ? Juste dingues ! Bref, pour moi, c’est réussi, j’ai adoré !
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