Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l’idée d’être suivie par un psychopathe. Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher. Et ce jour se lèvera dans deux heures !
Merci à Babelio et aux Éditions L’Archipel.
J’ai toujours eu envie de lire Sebastian Fitzek, alors quand j’ai eu l’opportunité de me plonger dans ce texte, je n’ai pas hésité. Mais alors, il y a des moments où j’ai eu un peu peur.
Certains passages étaient vraiment glauques et difficiles à lire. L’horreur, la douleur, la cruauté à l’état pur, voilà ce que j’y ai trouvé. La pauvre Klara est dans une situation complètement inimaginable, et plus j’avançais dans mon récit, plus je trouvais cela fou. Et j’ai douté d’elle, plus d’une fois. Pourtant, c’était évident. Oui, je sais, vous ne me comprenez plus, c’est normal.
Malgré tout, je n’arrivais pas à me détacher du roman. C’est simple, il était captivant, prenant, dingue, intrigant, terrible. Je voulais comprendre et je n’arrivais pas à savoir ce qui était vrai et ce qui ne l’était pas. Puis les hypothèses de départ ont changé, et là tout est devenu plus clair. Bien sûr, pas forcément tout d’un coup. Certaines informations étaient encore un peu troubles et obscures. Je me demandais pourquoi la narration avait changé d’un seul coup : elle est omnisciente dès le début, donc des indices auraient dû être mis dès le départ… Là, on aurait dit que le narrateur (omniscient !) réalisait des choses en même temps que nous. Bon, cela m’a fait plus sourire qu’autre chose, je n’aurais pas voulu tout savoir dès le début et gâcher la surprise !
Et puis, je n’ai rien vu venir et, ça, pour moi, c’est juste énorme. Car j’aime être surprise dans ce genre de livre. C’est d’ailleurs pour cela que je les enchaîne. En tout cas, ce texte-là a un petit quelque chose qui fait qu’on n’a pas envie de le lâcher, et cet auteur a un goût de reviens-y. Décidément, c’est clair : je vais en lire d’autres. Reste à savoir lesquels !
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