mercredi 12 septembre 2018

La 6e extinction

Une station militaire de recherche, cachée dans les montagnes de la Sierra Nevada en Californie, envoie un message de détresse inquiétant : « Il y a eu une faille de sécurité. Qu’importe le résultat : Tuez-nous… tuez-nous tous. »
Lorsque les secours arrivent sur place, ils font face à une situation apocalyptique : en plus des scientifiques, toute forme de vie aux alentours est anéantie ; même les bactéries n’ont pas survécu. Et le phénomène se propage à une vitesse effrayante. Pour stopper l’inévitable, le commandant Gray Pierce et son équipe Sigma doivent affronter un danger qui provient d’un passé lointain, à une époque où l’Antarctique était verdoyant et où la vie sur Terre ne tenait qu’à un fil. Parviendront-ils à éviter l’extinction prochaine de l’humanité ?
The 6th extinction
James Rollins 2018

Merci aux Éditions 12-21.

Cette chronique va être très difficile à écrire car j’ai lu ce livre dans une période de panne de lecture. Et c’est bien dommage car, vu le résumé, c’est une lecture qui aurait dû être épique pour moi, mais j’ai eu du mal. Toutefois, je pense que, à un autre moment, j’aurais adoré et que je le relirai et mettrai à jour cette chronique dans un moment un peu plus propice.

Des mystères, de la science, un virus, l’extinction de l’humanité. Autant de thèmes qui m’inspirent et me plaisent d’ordinaire. Je suis du genre à aimer les conspirations visant à éradiquer l’homme. Je sais, je suis cinglée. Ce livre a tout pour plaire aux folles de mon genre qui aiment ce genre de complot. L’histoire est juste tellement crédible qu’on veut y croire.

J’ai bien aimé les recoupements historiques et scientifiques qui permettaient de donner un sens aux découvertes. Parfois, j’aurais pu oublier qu’il s’agissait d’une fiction, et pourtant rien ne peut être vrai… Si ? Bref, en tout cas, au niveau de l’intrigue, je donne la note maximale. Tout est bien orchestré et géré, et les explications sont tout à fait claires pour intégrer le lecteur à l’histoire.

Mais par contre, je n’ai pas du tout accroché avec les personnages. Si, le husky, car j’ai eu de la peine. C’est à peu près tout, et c’est bien dommage, car on perd une dimension humaine ici. Il s’agissait d’humains qui découvraient un grand mystère, qui se battaient pour leur vie, mais je suis restée complètement détachée. Peut-être, comme je l’ai dit, car ce n’est pas le moment pour moi… Mais quand même, j’ai trouvé les personnages trop fades.

En bref, je pense que ce livre est vraiment super, mais je ne l’ai pas lu au bon moment pour l’apprécier pleinement… On verra plus tard si je retente l’aventure avec toute la saga… dont ce titre vu que c’est le tome 10.

« Noire providence
Le labyrinthe des os »

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