jeudi 14 avril 2016

Que sonne l’heure

Brooklyn, 1922. En pleine nuit, un petit garçon terrorisé, entend quatre hommes pénétrer chez lui. Ils tuent sa mère et emmènent son père. Sa sœur et lui ne le reverront jamais plus. Désormais orphelins, ils embarquent avec leur tante pour l’Irlande. Avant le départ, un inconnu leur remet un morceau de journal avec quatre noms et une suite de chiffres griffonnés dessus, ainsi qu’une montre.
Dead man’s time
Peter James 2013

Merci aux Éditions 12-21.

Il y a quelque temps, j’avais découvert Peter James à l’occasion de la sortie de la dernière aventure de Roy Grace. J’avais beaucoup aimé et m’étais promis de relire cet auteur dès que possible. Lorsque Que sonne l’heure est arrivé entre mes mains, je n’allais pas laisser passer cela. Et ce fut encore un bon moment, même si j’aurais dû ne pas lire celui-ci d’abord…

Je connais le personnage et son équipe, il suffisait que je me lance dans l’histoire. Bien sûr, ce n’est pas logique, j’ai lu le dernier, puis celui-ci qui est avant, et je n’ai même pas lu le début. Du coup, tout m’a été divulgâché une nouvelle fois ici, et je pense que c’est bien plus grave que dans le cas du tome précédent. Qu’à cela ne tienne. Le prochain que je lirai sera le premier tome. Je me le promets !

Ceci n’a rien retiré à mon plaisir ! L’enquête était intéressante, le suspense était présent… peut-être qu’il aurait pu l’être encore plus mais, après tout, j’ai passé un assez bon moment, alors cela était suffisant. Au final, je me suis un peu trop focalisée sur l’aspect personnel de l’affaire. J’étais inquiète pour le bébé de Roy pendant très longtemps, j’ai plus frémi lors de cette « attaque » que pour tout le reste. Pourtant, l’intrigue avait de quoi émouvoir fortement.

J’ignore ce qu’il se passe dans les tomes avant/après, mais j’ai l’impression que ce tome avait son importance dans la vie de Roy Grace. En tout cas, c’est ce que j’ai ressenti, et j’avoue que cela me donne encore plus envie de découvrir le reste de ses aventures. Bientôt, je l’espère.

« Que ta chute soit lente

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