Après avoir adoré Le cycle des chats, il me fallait absolument découvrir d’autres cycles de Bernard Werber, et on m’a conseillé – très judicieusement, sûrement – de commencer par le début : Les fourmis. Eh bien, je dois avouer que j’ai adoré ce texte ! Pourtant, au début, c’était un peu étrange. Comment voulez-vous rentrer dans la tête des fourmis ? Elles sont tellement différentes de nous…
L’auteur est très doué, il a réussi à me captiver en peu de pages. Peu d’humains, mais un peu quand même pour nous donner du mystère quant à cette cave étrange où tout le monde descend mais d’où personne ne remonte. Et des fourmis. Partout, des fourmis qui ont des numéros, sauf pour les reines qui ont des noms, évidemment. C’est fou comme j’ai aimé suivre ces fourmis sans nom, j’ai frissonné pour elles, j’ai été amusée par leur mode de communication particulier, fascinée aussi par leurs mœurs et leurs habitudes, outrée par leur inhumanité lorsqu’elles s’entretuaient pour le bien de la colonie.
C’était incroyable et fou, et je n’ai pas vu le temps passer. Bien sûr, ce titre est connu, il ne sert à rien de répéter une énième fois qu’il faut le lire. D’autres s’en sont chargés bien avant moi. Tout le monde le sait. Mais je vais quand même le dire, car j’ai adoré ce texte. J’ai aimé les similitudes et les différences avec Le cycle des chats, j’ai été passionnée par cette histoire, et aujourd’hui je n’ai qu’une envie : lire la suite… Parce que cette fin… Cette fin !
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