Trois couples en situation de crise s’affrontent dans une émission complètement inédite à la télévision : le programme AMORT. La réalité virtuelle comme elle n’a jamais été exploitée auparavant.
Pour remporter la grande victoire et la coquette somme de dix millions d’euros, les candidats devront mettre de côté leurs différends. C’est sans compter sur la production qui ne va pas hésiter à prendre de multiples libertés pour satisfaire son précieux audimat.
Merci à SimPlement et à Marie Faucheux.
Cette lecture fut plus que particulière. Elle m’a tout fait vivre : émotions, excitation, peur, déception, soulagement… Je suis passée par tous les états, ce qui fait que cette histoire que j’ai lue a engendré une autre histoire : celle de ma lecture. Et pour ça, merci, car cela montre que ce livre a ce quelque chose en plus que l’on recherche dans toutes nos lectures.
Je vais commencer par donner une petite note sur l’écriture, car elle est formidable. La plume de l’autrice dégage une sorte de paix et de sérénité qui nous donne l’impression d’être installé confortablement et de pouvoir lire à l’infini. Chaque mot est pesé, mais simple. C’était une impression vraiment déconcertante et très agréable. Et il valait mieux car, quand ma liseuse m’a indiqué sept cent dix-neuf pages alors que l’autrice n’en annonçait que cinq cents, j’ai un peu pris peur… mais juste un peu, car quand on aime on ne compte pas !
Je diviserais ce roman en quatre parties. En réalité, il y en a trois, mais je compte l’épilogue à part, car il est le soulagement après deux parties qui m’ont moins plu que la première. Si je devais résumer, cela donnerait « Avant Amort » – j’ai adoré et j’ai été surexcitée par ce concept et la préparation du programme –, « Pendant Amort » – intéressée, mais finalement un peu déçue car l’autrice n’est pas allée aussi loin que je l’espérais –, « Après Amort » – complètement outrée, car toute cette partie n’était absolument pas crédible à mes yeux, même si c’est plutôt ce genre de frissons que j’attendais « pendant » – et l’épilogue, qui m’a soulagée car ce que j’avais déploré dans la partie 2 a finalement eu lieu dans la partie 3, et qui m’a réconciliée avec la partie 3, car… je m’en suis douté plus d’une fois !
Bien sûr, je dis que j’ai été déçue, que certaines choses n’étaient pas crédibles : j’aime vivre ce genre de sensations quand je lis un livre, car cela me permet de réaliser que je vis avec les personnages et que je m’attache à certains. J’ai adoré Benoît par exemple, bien apprécié Aurore. Je n’ai pas du tout aimé Judith, et Elsa m’a laissée indifférente. On a tous nos chouchous, un peu comme dans un vrai programme de téléréalité. Alors, le pari est réussi !
Et puis, sérieusement, cette partie 3… Je n’y croyais tellement pas ! En fait, j’ai trouvé que la partie 2 était trop courte. Et ce qui se passait dans la partie 3 était tellement énorme que je me suis dit… je ne peux pas le dire car ce serait divulgâcher la fin à ceux qui commettent l’outrage de n’avoir toujours pas lu ce roman… Vous savez ce qu’il vous reste à faire, maintenant !
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