Cela faisait longtemps, très longtemps, trop longtemps que j’attendais de lire ce livre. Et aujourd’hui je m’en veux, car je suis passée pendant des mois à côté d’une perle, d’un bijou… La dernière fois que j’ai eu une lecture aussi attractive… attention, je vais envoyer du lourd… c’était pour ALE 2100, pour Hunger Games, pour Harry Potter.
Bref, L’épreuve est une saga incontournable, un page-turner hallucinant et incroyable. Pour vous dire, je l’ai commencé samedi dans la matinée et je l’ai terminé samedi à minuit et demi. Impossible de le lâcher tant qu’il n’était pas terminé.
Il faut dire que, dès les premières lignes, on ne peut que s’identifier à Thomas : incompréhension, peur, suspicion. Où se retrouve-t-on embarqué ? Qui sont ces jeunes qui parlent avec un argot si étrange ? Quel est ce lieu maléfique ? L’hypertension m’a guettée dès le début du roman, car Thomas pose toutes les bonnes questions, mais il ne reçoit que des bribes de réponses, des embryons qui nous font nous poser de nouvelles questions.
Le bloc, le centre du Labyrinthe, est un lieu particulier où règnent l’ordre et la discipline instaurés par les blocards, en vue de se protéger du monde hostile du Labyrinthe. Les jeunes ont créé une communauté, avec leurs règles et leurs lois, dont la première est une règle de survie : ne jamais se rendre dans le Labyrinthe, et surtout pas la nuit. Alors, évidemment, cela donne des idées à Thomas, qui rêve de devenir coureur, l’élite des blocards, qui parcourent le Labyrinthe pour en faire les plans et tenter de trouver une issue.
Quel monde et quelle imagination ! Quand Thomas est arrivé, toute la mécanique était en place, et il vient tout chambouler. Je n’en dirai pas plus sur l’histoire, car il faut absolument que vous découvriez ce roman, qui est hallucinant. Du suspense, de l’action, de l’humour, des sentiments fraternels et d’amitié indétrônables, du courage, des énigmes. Tous les ingrédients sont là pour nous créer l’histoire parfaite, celle qui nous fera rêver pendant des semaines, une histoire à laquelle on ne peut s’empêcher de penser même après avoir terminé le roman.
Ma chronique va vous sembler décousue, je l’admets, mais il y a tant à dire et à vous cacher pour ne pas divulgâcher. Rien de ce que je pourrais vous dire n’égalera la qualité de ce roman. Lisez-le. C’est tout !
En bref, Le labyrinthe nous présente un univers incroyable dont on ignore encore tellement à la fin du premier tome. D’ailleurs, cet épilogue m’a tuée. J’ai voulu me ruer comme une enragée sur la suite, avant de me sermonner. Attends d’avoir aussi le tome 3, ou l’attente sera insupportable. Allez, Merry, respire, respire, tu peux patienter… Mais… euh… Oui. C’est un énorme coup de cœur.
James Dashner - 2009
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