mardi 20 mars 2018

Chute

Après son Ascension dans une Olympe pour le moins surprenante, Opale continue sa formation et son entraînement de Déesse de la Chaleur, auprès de nouveaux et inattendus compagnons d’armes. Mais elle n’abandonne pas pour autant la recherche de son ancien mentor, Ivan, dont la disparition provoque bien des difficultés au Grand Conseil.
Nouvelles alliances, quêtes, trahisons et combats deviennent le quotidien d’Opale. L’élève saura-t-elle dépasser le Maître ?
Chute
David Royer 2018

Merci à Nats Éditions.

J’avais bien aimé le premier tome de Divano. David Royer avait, selon moi, tellement d’imagination que l’histoire en était devenue parfois délirante, et en tout cas toujours originale et inattendue. C’est donc avec énormément d’envie que j’attendais ce second opus. En plus, il fallait bien savoir ce qu’il allait advenir de nos personnages.

Eh bien, je peux vous le dire, ce tome est encore meilleur que le premier. Plus fou, plus mature, plus intéressant. Tout y est mieux ! Opale se retrouve dans une situation bien compliquée et doit composer avec des dieux qui se révèlent différents. Entre une alliance inattendue et des trahisons, elle n’a pas de quoi s’ennuyer, et on se rend compte que l’auteur est capable de redistribuer les cartes à tout moment. C’est un fou !

L’histoire, quant à elle, suit son cours. Je l’ai trouvée très intéressante et, même s’il n’y a pas de révélation fracassante comme dans le premier tome, il n’empêche que ce livre nous tient en haleine du début à la fin. Il y a un mystère sous-jacent dans toute cette histoire, et l’on veut vraiment le découvrir. Mais l’auteur est un sadique et nous le fait miroiter.

Le style enfin est plus mature que dans le premier texte. On sent que l’auteur est plus affirmé dans son histoire : peut-être aussi que, après autant de pages, on est plus à l’aise avec son univers et ses personnages. En tout cas, ce côté posé nous permet d’apprécier d’autant plus cette suite… et espérer que le prochain tome arrive rapidement !

Guerre »

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire