mardi 16 juillet 2013

Ce n’est pas par hasard

En arrivant dans l’île paradisiaque de San Pedro à Belize, un homme fatigué par la vie, va être entraîné dans une aventure improbable, en se rendant sur la site de la cité cérémonielle Maya de Tikal au Guatemala. Une étonnante rencontre avec quatre jeunes chercheurs germaniques va déclencher une suite d’événements surprenants sur un rythme crescendo. Un étrange lien invisible semble les lier depuis cinq cents ans. Le hasard n’existe plus. Tous les personnages de cet univers sont entraînés dans un complot vieux de cinq siècles où apparaissent les activités machiavéliques du 3e Reich et d’Himmler, du cabinet noir du Vatican, des officines de la CIA et de la Stasi, qui luttent sans merci dans l’ombre pour s’accaparer les secrets et les pouvoirs extraordinaires des tablettes de diamants. Quel serait le sort de l’humanité si la puissance de cette nouvelle énergie échouait dans des mains maléfiques ?
Ce n’est pas par hasard
Jesse Jay 2012

Merci à Jesse Jay.

Je vais être franche tout de suite : je n’ai pas adhéré à ce titre. Je l’ai lu très vite, il y a près de deux semaines et, aujourd’hui, en écrivant ma chronique, je me rends compte qu’il ne m’a pas marquée. Je ne me souviens plus du nom des personnages (sauf Jesse car, évidemment, il s’appelle comme l’auteur, donc…) et je ne me souviens que très peu des scènes en particulier. Seuls me restent le déroulement global de l’histoire et l’impression que m’avait donnée le titre.

C’est bien dommage, honnêtement. Car le résumé m’avait intriguée, et j’espérais vraiment être scotchée, surprise, que Jesse Jay arrive à me démontrer de manière non équivoque qu’il a raison, que rien n’arrive par hasard dans son histoire. Mais il ne m’a rien prouvé, car l’enchaînement des faits restait banal. Et pire, je dirais même que, pour moi, le hasard avait sa place dans l’histoire.

J’ai observé au début les personnages sur des scènes de la vie de tous les jours. Pas de grandiloquence, juste des moments simples, qui se suivaient logiquement. Des petites péripéties arrivaient pour ponctuer tout ça, mais cela restait relativement simple, et je ne comprends toujours pas ce que l’auteur voulait démontrer dans son avant-propos. Pour moi, le hasard reste présent en tout.

J’ai peut-être un esprit trop fermé, ou peut-être l’ai-je lu au mauvais moment. Toujours est-il que je n’ai pas su rentrer dedans, et que le style de l’auteur ne m’a pas touchée. Ceci est bien sûr un avis tout à fait personnel, et donc subjectif, et je suis sûre que certains y trouveront plus leur compte que moi. Mais, pour ma part, je ne pense pas continuer la série.

Apocalypse’s year »

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