jeudi 4 avril 2019

La tour et l’île

Dans un monde devenu totalitaire dirigé par des corporations, Martin, adolescent de quinze ans, est sélectionné, avec d’autres, pour son système immunitaire exceptionnel. En échange de leur collaboration, la corporation Dédale leur promet le plus bel avenir sur une île paradisiaque. Mais que cache cette si généreuse proposition ?
La torre et la isla
Ana Alonso & Javier Pelegrin 2012

Ce livre m’a tentée par la couleur de la mer. Les beaux jours revenant à ce moment-là, l’atmosphère s’y prêtait bien. Quand j’ai vu ensuite qu’il s’agissait d’une dystopie, mon emprunt a été confirmé. C’est généralement le genre de thématique que j’affectionne particulièrement, et je savais que ma lecture serait agréable.

Au final, j’ai trouvé l’histoire sympathique, mais sans plus. J’ai aimé suivre l’histoire de Martin, mais je trouvais qu’on apprenait les choses un peu vite au début. La mise en place, un peu brouillonne, ne me faisait pas spécialement tourner les pages rapidement. Et pourtant, il y avait du potentiel dans l’histoire : ça, je le sais car la suite devient vraiment intéressante.

Disons que les expériences subies par les personnages ont permis de mettre en évidence un problème autrement plus important que le régime totalitaire dans lequel ils évoluent. Là, les capsules nous révèlent des choses bien plus importantes. Et c’est quand j’ai su ce qu’étaient les visions que mon intérêt a vraiment été capté.

Pour autant, je n’irai pas jusqu’à dire que j’ai été passionnée. En effet, l’écriture ne m’a pas semblé très fluide, et il y avait de mon point de vue quelques longueurs qui m’ont un peu ennuyée. Toutefois, je suis suffisamment intriguée pour vouloir découvrir la suite de ce dyptique, que j’avais par ailleurs emprunté en même temps que celui-ci : j’ai eu raison d’être optimiste.

La sphère de méduse »

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